☾ let me escape in your arms.

Citation :: { mara lombardi }
hold me in your arms, burns like a fire. when you're close i feel the sparks takes me higher to infinity.
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Prénoms nom : lombardi, un nom effacé, oublié, invisible dans la masse. Seul les gens du quartier où Mara a grandi pourront vous dire quelques mots sur cette famille, un père pilier de bar, une mère absente, des gosses paumés, livrés à eux même. Mara, c'est simple et sans prétention, un prénom comme un autre.
Age et lieu de naissance : 21 ans, vérone.
Métier : femme de ménage, le métier ingrat. baby-sitter parfois, elle s'occupe de gosses de riches. Elle n'a jamais vraiment aimé les enfants, mais l'argent qu'elle gagne à la fin du mois l'oblige à faire quelques efforts. Mara n'est pas toujours sérieuse, il lui arriver de voler, de glisser des objets dans ses poches ou son sac. Un autre moyen de gagner de l'argent, d'arrondir les fins de mois. ($$($))
Origines: italienne pure race.
Statut social : célibataire. Elle a donné Mara, elle a donné sans rien avoir en retour. Alors depuis quelques temps elle préfère resté seule. C'est qu'elle a le coeur bien écorché la gamine.

Traits de caractère : discrète, souriante, observatrice, solitaire, honnête, spontanée, naïve (un peu), casse-cou, désinvolte, boudeuse, impatiente, gourmande, généreuse, sportive.
Groupe, crédits : residente, tumblr.

Per favore non dimenticarmi!
Que pensez-vous de l'amour? mara n'y pense plus, du moins, elle essaye. Elle ne court plus après le prince charmant, elle a arrêté de rêver au grand amour. La vérité c'est qu'elle a trop donné, elle s'est fait piétiner et écrasé comme une vulgaire petite chose. Trop naïve, à présent elle fait semblant d'être forte, elle s'est créer une carapace et refuse de donner son coeur une seconde fois.

➣ Mara n'apporte que peu d'importance aux relations humaines, elle n'a pas vraiment d'amis, pas vraiment de gens avec qui trainer. Il lui arrive de ne plus donner de nouvelles du jour au lendemain, sans vraiment de raisons. Elle préfère se concentrer sur elle même, plutôt que de devoir compter sur les autres.
➣ Grandir dans un quartier défavorisé n'est pas une bonne chose. Mara aurait pu s'en sortir, elle n'est pas bête la gamine. Mais les mauvaises fréquentations on eut raison d'elle. Laisser tomber le collège a été ça plus grande erreur. Elle regrette, mais pourtant elle ne fait rien pour reprendre ses études, ou trouver un vrai boulot.
➣ Mara elle fait le ménage chez les riches. C'est bien parce que la plupart du temps il n'y a pas grand chose à faire. Puis elle garde des gosses aussi. Des petites choses capricieuses qui pleurent pour un oui ou un non. Avec le temps, Mara elle a appris à les dompter, elle a appris à les aimer même s'ils grandissent dans un monde complètement opposé.
➣ Elle ne tient absolument pas l'alcool. Deux verres et la demoiselle est incapable de marcher droit. Pourtant elle aime fréquenter les bars et les fêtes, se fondre dans la masse et s'amuser avec les gens de son âge. Elle peut paraitre un peu sauvage, mais elle ne demande qu'une seule chose, c'est qu'on la remarque, qu'on s'occupe d'elle.
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Un milione di baci
Pseudo, prénom : spf
Commentaire : j'adore le forum, c'est simple et frais, bref, parfait I love you

Avatar : cailin russo
Autres : cat

♠ Stavo sognando di voi
Ses doigts sur ta peau, c'est brûlant comme un volcan et si doux à la fois. Naïve petite fille, tu t'es entichée de lui en un rien de temps. Son regard de braise t'as tout de suite fait fondre. Et sans vraiment t'en rendre compte, tu t'es rapprochée, tu t'es brûlée contre lui. Ton regard se promène sur son torse, son visage. Tu l'aimes de tout ton être. Tu sais parfaitement que t'es le parfait cliché de la gamine amoureuse. Tu sais aussi que t'es pas la première à être tombée dans ses filets. Mais tu te dis que pour toi, il pourrait changer, devenir quelqu'un de ranger. T'as pas voulu écouter tes amis, t'as pas voulu écouter. Tu t'es fermée, ton monde ne se résumait qu'à lui. Puis est venu le temps des premières engueulades, le temps des premiers coups. Bien sûr il se faisait pardonner presque après, et toi, folle amoureuse, tu te contenter de sourire. C'était un cercle infernal. Tu pensais être plus forte, mais à côté de lui tu perdais tous tes moyens. Tu devenais silencieuse et soumise, une poupée de chair qu'il pouvait frapper quand l'envie lui en prenait. Les bleus qu'il laissait sur ta peau, t'as vite appris à les cacher, sous du maquillage ou du tissu, tout dépendait de l'endroit. La douleur, les cris et les pleurs sont vite devenus ton quotidien. Pendant deux ans, tu t'es enfermé dans cette relation qui te détruisait petit à petit. T'étais pas capable de partir, pourtant tous les jours c'était cette idée qui te trottait dans la tête. En vrai t'a pas eu besoin de le faire, parce que c'est lui qui t'a quitté. Il a disparu, du jour au lendemain, comme ça. Sans un mot, ni une explication. C'était la délivrance, la déchéance aussi un peu. T'as remonter la pente, t'as appris à vivre sans lui, comme une renaissance.

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Capuche sur la tête, tu contournes l'énorme villa en courant. Silencieuse, comme un courant d'air, t'essaye d'ouvrir chacune des fenêtres que tu vois. Tu finis par t'introduire en passant par une baie vitrée laisser ouverte. Le sourire sur les lèvres, tu observes le luxueux salon devant toi. C'est pas ta première fois, ce ne sera certainement pas la dernière. Tu ne fais pas ça souvent, seulement quand ton compte en banque prend la poussière, ou simplement quand l'envie t'en prend. Ce soir t'es toute seule, c'est plus simple, plus discret. Tu fourres quelques objets dans ton sac, puis tu montes l'escalier de marbre. Tu trottines jusqu'à la première porte, une immense chambre avec un lit à baldaquin est posé dans la pièce. Tu n'as jamais connu la richesse. Toi t'as grandis dans une maison, avec une chambre trop petite. Le frigo était souvent vide, alors tu volais dans l'épicerie pour manger. Kleptomane, tu l'as toujours été au final. Seulement tu n'aurais jamais pensé être capable de cambrioler une maison. Voilà où tu en es. Baby-sitter la journée, voleuse la nuit. Cette pensée te fais doucement rire. Tu te diriges vers le dressing, t'ouvres les tiroirs, tu touches les tissus bien trop doux, bien trop lisse. Tu fourres un foulard dans ton sac, tu le donneras à ta soeur. Puis tu repars, tu descends les escaliers, tu sors dans le jardin. Tu entends une voiture dans l'allée, alors tu disparais dans le noir. Rapide et silencieuse, tu cours le plus loin possible, respirant l'air froid à pleins poumons.