- Citation :
Prénoms Nom : la jeune fille se nomme
vittoria, mais les gens de son entourage l'appelle par son diminutif
vitto. elle fait partie d'une riche et puissante famille grâce aux actions politiques de son père à vérone. le nom des
scortizzo n'est donc pas étranger aux oreilles des habitants de la cité.
Age et lieu de naissance : la jeune femme a fêté dernièrement ses
28 ans en compagnie de sa soeur jumelle, mila. elles sont nées ici-même, à
vérone.
Métier : elle est
chanteuse d'opéra depuis maintenant bien des années, elle a su impressionner des amphithéâtres par sa voix et est à présent une
prima donna à l'opéra de vérone.
Origines: vitto a des origines
vénitienne de part son père et
sicilienne de part sa mère. le nord et le sud de l'italie se mélangent dans son sang.
Statut social : la talentueuse vittoria ne l'est pas dans ses relations amoureuses. elle est
divorcée de giacomo carleone, avec à charge son
unique enfant (qu'elle aime de tout son cœur et chéris plus que tout). elle a eu un petit temps d'adaptation à sa nouvelle vie de
célibataire. elle doit avouer que ça l’effraye un peu et elle se demande si elle revivra les étincelles de sa jeunesse. elle est
hétérosexuelle.
Traits de caractère : souriante, vivace, extravertie, sérieuse, maline, grande gueule, prend rapidement la grosse tête, fière, froide à première vue, boudeuse, confiante, a besoin d'affection, romantique, colérique, sarcastique.
Groupe, crédits : elle est originaire de vérone et habite ici depuis toujours. elle fait donc partie des
residente.
Per favore non dimenticarmi!Que pensez-vous de l'amour? j'y croyais comme une nouvelle fleure vient d'éclore et croit à sa beauté et immortalité. seulement, tout se fane. l'amour aussi. j'ai divorcé de l'homme de ma vie il y a maintenant un an et j'ai bien peur que l'amour ne soit perdu pour moi. je ne vis plus comme avant, à l'apogée de ma jeunesse et giacomo m'a bien souligné que ça n'intéressait plus les hommes. l'amour, je le trouve donc chez mon unique fils de cinq ans. il me rappelle des époques, l'insouscience et le bonheur. sans lui, je serais effrayée, recroquevillée comme une écrevisse, sans savoir où aller.
Stavo sognando di voiLe bruit de l'orchestre vint lacérer ses tympans. Les musiciens se préparaient, accordait leur instrument sur le LA du premier violoniste. C'était cacophonique, mais bientôt toutes ces cordes allaient s'unir pour donner une mélodie sans précédents. Vittoria ne put s'empêcher de jeter un coup d’œil à travers le rideau. Son cœur battit la chamade et elle se craqua les doigts pour la centième fois depuis hier. Elle se trouvait de l'autre côté de l'estrade, pour la première fois de sa vie, ce soir. Le public fut longtemps sa compagnie lorsqu'elle allait voir sa mère chanter avec tous les Scortizzo. Ce soir, elle allait faire découvrir ses talents à l'aristocratie italienne. Beaucoup de Véronais assisteraient au spectacle, mais également la gente de Venise, Padoue et d'autres cités renommées. En prenant conscience du monde et de la qualité de chaque spectateur, Vittoria se mordit la lèvre inférieure pour empêcher un petit gémissement de sortir de sa bouche. Ses mains étaient tout d'un coup moites et son front brûlant et suant.
C'est pas vrai, pourquoi j'ai dis oui. Pourquoi ? Vitto. Que fais-tu donc près du rideau ? Viens, tu n'es pas encore habillée. La jeune fille de 19 ans se retourna vers la voix si calme de sa mère. Elle accourue vers elle, la panique imprimée sur son visage.
Maman, je suis désolée. Je ne veux pas y aller, pas ce soir, je. J'ai peur. Et si ma voix s'enroue ? Et si je ne me souviens plus des paroles ? Et si je gâche tout ? Des larmes naquirent au creux de ses yeux châtaines. S'il y avait quelque chose que Vitto ne supportait pas, c'était de décevoir ses parents. Ce soir, elle avait tellement de doutes sur ses capacités qu'elle était prête à tout abandonner pour sauver l'honneur de sa mama. Mais Ms Scortizzo ne sembla pas inquiétée par les paroles et les sentiments de sa fille. Vittoria lui rappelait même sa jeunesse, la première fois qu'elle montait sur scène. Elle avait été si tendues, mais toutes ses émotions s'étaient envolées le moment où elle s'est entendue chanter avec l'orchestre. La soirée l'avait transcendée. Et mieux encore, elle avait vécu son premier moment de gloire, au son des applaudissement et son nom crier dans la salle. A ces souvenirs, la mère de Vittoria posa une main délicate sur l'épaule de sa fille et de l'autre lui prit le menton.
Mais non ma chérie, tout va bien se passer, tu verras. Tu as beau avoir le nom Scortizzo, tu es également une Di Marzo. Tu es comme moi ma fille et ta voix fera naître l'espoir, la violence et la passion dans les cœurs des Hommes. Une fois lancée, tu n'y penseras plus et tu goûteras à l'effervescence d'une salle remplie d'admirateurs. Alors, ne t'inquiète pas, ma fille. Vie ce moment précieux, avec moi à tes côtés. Sa mama avait réussi à faire apparaître un sourire sur la bouche de Vittoria. Cette dernière avait été tellement égoïste. C'était sa mère qui avait voulu l'introduire dans le monde de l'opéra cette année. Elle l'avait mise en avant et s'était effacée pour lui donner une chance de s'affirmer. Elle ne pouvait pas l'abandonner au dernier moment, pas après tant d'efforts. Elle avait de la chance d'être sur scène à son âge, à côté d'une prima donna.
Merci maman. Elles allaient chanter avec elle. Ensemble, elles allaient vivre leur passion pour l'opéra. Et ce sera beau. Ce sera magique.
~
Bravo Miss Scortizzo, c'était extraordinaire. Heureusement que votre mère vous a présenté à l'opéra il y a trois ans de cela. Vous êtes un régale pour nos oreilles. Vittoria ne put réprimer un large sourire.
Général Piazo, vous êtes bien aimable. Me satisfaite si j'ai réussi à vous contenter de la pièce. Le bel homme aux traits quaternaires pointa du doigt. Plus que du contentement Miss Scortizzo. Beaucoup plus. Vittoria sourit de plus belle. Elle aimait qu'on lui jette des fleurs. C'était ce qu'il y avait de mieux après le chant dans ce métier. D'habitude, elle accordait les mérites, mais elle aimait également jouer avec les hommes de temps à autres.
Oh, Général, arrêtez, vous m'en voyez rougir. Elle agita sa main devant elle et fit une petite moue timide. L'homme gobait sans se poser de questions et Vitto s'amusait comme une folle.
Je suis terriblement désolée, je vais devoir vous laisser un instant Général. Mais promettez-moi que je vous reverrai avant la cérémonie terminée. La jeune fille serait bien restée un peu plus longtemps sous les yeux bleus mystiques du militaire retraité, mais un autre visage avait attiré son attention. Un visage exotique qui lui rappelait tant la Sicile de sa mère. Des yeux plissés, un teint du sud et un nez digne d'un Dieu antique. La beauté à l'état pur. Vitto l'avait aperçu entre deux têtes, puis l'avait perdu. Parcourant tranquillement la salle décorée, les escaliers fleuris et les halls tapissés, elle chercha du regard le jeune homme. C'est alors qu'il apparut, non loin d'elle. Il avait l'air un peu plus vieux qu'elle mais audacieux et bohème. Pendant une seconde leur yeux se sont croisés, puis Vittoria cassa le lien et tourna la tête, un sourire croustillant au coin des lèvres. Elle resta planter là, sachant que le jeune homme viendrait à elle. Le jeu pouvait commencer.
~
La sonnerie, le nom et le message en lui-même, elle s'en rappellerait toute sa vie. La frayeur qui trésaille dans sa poitrine, puis le choc et enfin le désespoir. Vitto pensait qu'il n'y aurait qu'eux deux dans sa vie, et leur garçon Giorgio. Elle pensais qu'il faisait un couple idéal. Il l'aimait et elle l'aimait. Tout allait bien, même s'ils n'étaient plus aussi
intimes qu'avant. Elle avait eu ses doutes et ses peurs, puis des remords pour penser ainsi de son mari. Et pourtant... la preuve tenait à peine sous ses doigts. La douleur était tellement immense maintenant que Vitto aurait mieux voulu ne pas savoir. La douleur, puis vint la colère, tranchante et impitoyable. Comment avait-il osé ?
~
Mila, si tu savais. Appuyée sur son coude, Vittoria se tenait dans le salon avec pour seule compagnie Mila, sa sœur jumelle. Cette dernière venait souvent la voir, maintenant qu'elle était seule avec son bambin. Vitto avait besoin de quelqu'un avec qui parler. L'instance de divorce l'avait complètement chamboulé. Evidemment, la presse ne faisait rien pour adoucir le coup qu'elle avait pris quelques mois auparavant. Mila soupira.
Qui a-t-il encore ? Vitto laissa échapper à son tour un long soupir -on se croirait à l'opéra.
J'avais tout et maintenant je n'ai plus rien. Elle jeta un coup d'oeil à sa soeur et anticipa sa réponse.
Je sais. J'ai Giorgio. Mais je ne parle pas de ça. Bien sûr, Mila ne pouvait pas savoir. Elle n'était pas mariée et en plein divorce. Elle avait encore cette enveloppe séductrice autour d'elle qui ameutait les hommes.
Je vais finir seule, divorcée et seule. Elle remarqua les yeux de Mila rouler au ciel.
Quoi ? C'est vrai. Regarde-moi. Qui voudrait d'une femme divorcée avec un enfant ? C'est pire qu'être veuve. Cette remarque lui fit soulever une pensée. Et si elle aurait été veuve ? Elle se mordit les lèvres en essayant de s'imaginer planter un couteau dans le cœur de Giacomo. La satisfaction d'être enfin vengée... et un petit pincement rien qu'en imaginant le corps de son ex-mari inanimé sur le sol. Quoiqu'elle puisse penser ou dire, elle l'aimait encore un peu. Le fait de le savoir la mit de mauvaise humeur. Elle fit une grimace.
Mais non Vitto. Il y a des hommes qui aiment ça. La brune leva sa tête vers Mila qui pointait du nez tout en acquiesçant de la tête.
Tu es vraiment terrible pour rassurer quelqu'un, tu le sais ça non ? Et un sourire amusée vint étirer ses lèvres. Mila roula les yeux au ciel et ne put s'empêcher de sourire à son tour.
Tu viens tout juste de prouver le contraire ma chère sœur. Elle lui lança un clin d’œil.
Un milione di baci Pseudo, prénom : moi c'est jbé aka bloups.
Commentaire : elle est belle ma vitto, alors si tu veux un lien avec elle, y'a pas de problème. on trouvera un truc superbe ensemble.
Avatar : emilia clarke, cte bombasse.
Autres : vou mé donné calooor.